Peut-être, surement je me trompe, mais aujourd'hui, la plupart des boitiers PC n'ont même pas d'emplacement pour un lecteur DVD. Pas sûr que beaucoup de PCistes ait un lecteur DVD actuellement, et encore moins un Blu-Ray, là où les consoles ont des hardwares en série :)

Et puis, Cyberpunk 2077, se sera comme The Witcher 3, beaucoup de mises à jour la première année, au point que la version de base disque n'aura même plus d'utilité :)

En plus des mises à jour , des dlc gratuits peuvent être espérés aussi (comme ce fût le cas pour the witcher 3 ).
Par ailleurs , pour les jeux avec taille des fichiers importante , moi je prends la version physique des jeux ...
En effet , @thunker et tous ceux qui souffrent d'une mauvaise connexion ... je pense que je vous bats tous à plat de couture : 0.1 mbs pour le téléchargement ^-^

Pré-chargement disponible sur GOG à partir du 7 décembre (cf https://twitter.com/GOGcom/status/1334549571167522817)

Oui ce serait bien qu'il fasse comme TW3 et donner les fichiers hors ligne dispo et que l'on ai plus qu'un patch day one a télécharger le jour J pour y jouer

Ha ça, c'est clair que les lecteurs PC, il y en a de moins en moins chez les utilisateurs.
Et d'ailleurs, avec la nouvelle génération de console (PS5 / XBox série X/S), la mode de disparition commence à faire son chemein.

Pour ma part, je n'e peut pas avoir de PC sans lecteur.
Du coup, j'ai dnas mon PC un lecteur/graveur CD/DVD/Blu-ray(25 et 50).

Vivement la fibre hein !?
;)

Mais... ça ne vous gêne pas d'acheter un produit conçu dans des situations aussi horribles ? C'est une vraie question hein, tout le monde sait que le jeu est le résultat de plusieurs mois de crunch intensif, mais ici (je ne sais pas si cd project modère ce forum sur ce genre de réponse, je n'ai pas l'impression) mais ici les seuls réponses aux postes concernant CP2077 sont de l'enthousiasme sans aucune arrière-pensée. Je n'ait pas vraiment de g@merz dans mes cercles sociaux donc j'ai du mal à jauger de l'avis général.
Ça ne gêne absolument personne ?

Ce qui serait horrible c'est de surtout pas jouer a un jeux donc les dev ont mi tout leur coeur et leur temps dessus.

Ensuite il faut savoir que malgré le crunch. Cd projeckt a très bien payé le surplus d'heure que les dev ont fait. (En tout cas, c'est ce qui me sembler avoir vu).

Sinon a terme oui, faudra que les studio trouve un moyen de gerer ces periode difficile.

Je confirme ce que tu as lu.
Il y a aussi le fait qu'ils ont embauché 1 (ou 2) autre entrprise(s) pour aider.

Toutefois, le patron qui gère ça, a encore mal géré.
Souvenez vous que pour "The Witcher 3", il avait promis qu'il n'y aurait plus du tout de crunch... mais au final... encore un crunch pour le nouveau jeu.

Et si on se limite a acheté des jeux ou il y a pas de crunch . On aura pas grand chose a se mettre sous la dent .Car helas faut le dire le crunch est entrée dans les moeurs et pas que dans les gros studios . Meme les petits studios indie faut pas croire mais il y a du crunch pour sortir le jeu a la date fixé.

C'est vrai, mais pour ma part je trouve que, justement, ça n'aurait pas dû entrer dans les moeurs.

Oui mais au moins laisser le Choix aux gens, simplement, comme il le font d'habitude.

Ps: rien n'empêche d'utiliser un lecteur externe, platine blu-ray etc, et transférer sur son disque dur, car comme disent les collègues tout le monde n'a pas une connexion fibre, ni l'adsl proche d'un DSLAM, loin de là :)

Si si, je pense que personne ne se réjouit de ces pratiques de travail, d'ailleurs la vidéo du youtuber (lien que j'ai mis dans un post y a quelques jours) en parlait.

Et à priori ça été la même chose qu'à l'époque de The Witcher 3.

Je dirais c'est un point négatif parmi des points positifs du jeu de CD project, et espérons qu'a l'avenir ça s'améliore.

Purée..!
Ça me fait relativiser mes 7mo/s...

Si, bien sûr que cela en gêne - dans des proportions toutefois variées. Mais il faut remettre ce genre de pratique en perspective : les caractéristiques fréquemment associées aux conditions de travail du milieu des développeurs (de jeux vidéos, mais pas seulement) mettent souvent en avant l'introspection individuelle ou (à l'inverse, mais le résultat reste le même) la vie de groupe dans un milieu clos, ainsi qu'un fort investissement passionnel (dit 'créatif') dans un secteur de l'activité humaine particulièrement virtuel - propice à la déconnexion vis-à-vis du réel. Sans trop de surprise, les valeurs de distraction, divertissement, d'évasion, contribuent donc beaucoup à alimenter (spontanément) et depuis longtemps des clichés (mais aussi comportements avérés) que la culture populaire illustre avec la figure plus ou moins infantile du 'geek', émotionnellement immature, affectivement carencé, investi de façon mono-maniaque dans son loisir (ou dans le cas desdits développeurs, dans leurs projets), parfois au détriment de tout le reste. Et cette culture n'a (vraiment) rien de neuf et ne semble pas apparue (d'après les quelques études menées en la matière) avec la popularisation du jeu vidéo, la montée des enjeux financiers, la modernisation des méthodes de management en entreprise, etc.
Je m'étais intéressé au sujet à l'époque en lisant des entretiens de 'vieux' développeurs, comme Richard Garriott - sur la série des "Ultima" -, Tony Zurovec - son copain de l'époque d'Ultima VII, qui développa par la suite les deux titres "Crusader" - et Chris Roberts - pour "Wing Commander". Dès leurs débuts, à l'université comme dans leurs garages, puis dans de (petits) studios développements, les comportements de gens s'étaient spontanément orientés vers ce qui est critiqué à l'heure actuelle : peu d'heures de sommeil, alimentation (et santé) basique, défonce ludique dans et dehors du travail plus productif, etc. Déjà à l'époque, la pression n'était pas uniquement auto-imposée : il s'agissait déjà (aussi) d'honorer des paroles données, contrats tenus, délais annoncés, etc. Disons que, peu à peu, comme dans bien d'autres domaines (du loisir ou non), à la spontanéité de leurs modes de vie - quotidiens très désordonnés, mais (pour cette raison) peu contrôlés, peu réfléchis et peu soumis à des impératifs de rentabilité - a succédé une forme de professionnalisation des métiers impliqués, également (évidemment) liée aux intérêts à l’œuvre - toujours des histoires de gros sous capitalistes, tôt ou tard - et au manque de couverture (ou protection) sociale au sein d'une culture sociale bien particulière : celle des États-Unis. Et, à titre personnel (plus que sur la base d'études, cette fois, tant le milieu reste encore très discret sur le bien-être réel de ses employés, surtout dans de grosses entreprises), je suis d'accord avec Flaw, donc veux bien croire qu'il soit autrement moins 'fun' d'y travailler maintenant que dans les années 80 ou 90. Hormis sûrement pour certains indépendants... Et encore, de loin pas tous : quelques articles (en anglais) sur Gamasutra.com vous éclairerons rapidement sur le quotidien du ou des quelques types seuls qui développements leurs trucs dans leurs coins. Ce n'est pas toujours plus réjouissant...
Bref, il ne faut pas oublier que la figure du développeur qui dormait, mangeait et jouait aux fléchettes dans son bureau, en plus d'y travailler à (très) hautes doses - 80 ou 90 heures par semaine, voire plus -, ne doit rien à une tendance productiviste plus récente. Le "crunch" existe, et il correspond à la prise de conscience de la forme la plus actuelle d'un vieux problème (apparenté notamment à l'esclavage). Si votre niveau en anglais vous le permet, lisez par exemple l'un des premiers articles connus, constamment cité en guise de référence (.https://ea-spouse.livejournal.com/274.html ). L'auteur s'y plaint de pratiques (complètement) incorrectes - EA, champion ! -... mais y reconnait aussi sa naïveté (et son implication passionnelle), au même titre que d'autres milliers d'individus plus silencieux, au sein d'un mode de fonctionnement très perturbant à tous les niveaux : pour l'organisme, pour la vie affective et relationnelle ; pour le travail fourni également ! Il faut donc aussi renvoyer les gens à leurs (libres arbitres et) responsabilités individuelles, sur la base desquelles évoluent tous les domaines. Et l'Homme n'a pas forcément de grand chose, de prétextes ou d'excuses, pour (s')imposer bien des souffrances...

En définitive, oui, comme le dit Lukin, si tu cherches à ne jouer qu'à des titres supposément produit dans des conditions (vraiment) vertueuses - enfin, pour ce que chacun serait en mesure d'en apprendre, soit pas grand chose en fait -, le choix deviendrait vite (très) restreint... Je pense qu'indépendamment de toute position personnelle, de tout ce que nous pouvons déplorer ou soutenir dans le domaine du jeu vidéo - et tant mieux lorsque certains font remonter à la surface certains excès (même selon les standards de l'industrie ^^) ! -, il faut aussi tout simplement accepter que nombre de produits du quotidien, qu'il s'agisse de loisir ou non et dans lesquels nous pouvons trouver beaucoup de plaisir, demeurent souvent issus de filières qui incluent (à peu près toutes) leurs zones d'ombres, leurs non-dits, leurs choix (individuels puis collectifs) pas forcément très glorieux. Tous ceux qui connaissent, par exemple, le domaine de la restauration savent que l'équivalent du 'crunch' y porte tout simplement le nom de 'coup de feu' journalier ^^'...
Citez-moi un objet, un sujet, un centre d'intérêt (sportif, etc.), n'importe lequel, et nous pourrons certainement redémarrer la conversation au sujet des travers (plus ou moins visibles) de ce dernier... Mais bon, en attendant, je retourne à ma partie ^^.

à 0.1 Mo/s , ça ferait même 10 jours pour 100 GO !
c'est pourquoi , un jeu nécessitant un stockage > à 20 GO , c'est la version boite ps4 pour moi ^^