Post Mortem

Paris, années 1920. Un meurtre atroce a été commis dans un hôtel chic. Pour un détective privé, il n'y a rien de pire que de prendre sa retraite pour être replongé dans les affaires par deux morts violentes. Moi, c'est MacPherson, Gus pour les intimes. Je ne voulais pas de ce job, mais la cliente a des ressources, et je ne parle pas de son compte en banque. Les femmes, c'est la seule faiblesse des privés solitaires. Suffit qu'elles battent des cils pour qu'on leur tombe dans la main. Les macchabées étaient sa sœur et son beau-frère. Comme d'hab', les poulets ont torché l'enquête avec la délicatesse d'un éléphant dans un magasin de porcelaine : il ne reste plus que moi pour découvrir la vérité. Pff, je ferais mieux de m'y mettre avant que les cadavres refroidissent.

Bienvenue dans Post Mortem, un jeu de détective en vue subjective atmosphérique et poisseux se déroulant dans le Paris des années 1920. Entrez dans la peau de Gus MacPherson, détective à la retraite aspirant à une petite vie tranquille qui accepte une dernière affaire : un double meurtre très sanglant. Vous croiserez toutes sortes de personnages uniques au fil de votre enquête, mais attention : certains cachent bien leur jeu et peuvent même en vouloir à votre vie. Résoudrez-vous cette affaire où finirez-vous à la morgue ?

• Un moteur de conversation intégré pour des fins multiples et une très bonne rejouabilité.
• Un scénario de thriller mâtiné de film noir donne le ton : environnements sombres, magie et sciences occultes, nuances graphiques et tactiles, enquête sur un meurtre rituel, effets sonores et musique immersifs.
• 20 personnages différents à la personnalité unique sont impliqués dans l'enquête.

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