It seems that you're using an outdated browser. Some things may not work as they should (or don't work at all).
We suggest you upgrade newer and better browser like: Chrome, Firefox, Internet Explorer or Opera

×
avatar
Thunker: (…)
avatar
vv221: Après avoir enchaîné Baldur’s Gate + Tales of the Sword Coast + Shadows of Amn, j’avais grandement besoin d’une pause (j’avais d’ailleurs déjà du en faire une entre BG1 et BG2, à cause du changement radical de rythme entre les deux). D’autant que le côté haut niveau / bourrin de Throne of Bhaal m’attirait moins.

Je m’y remettrai sûrement un de ces jours, et j’en profiterai pour découvrir Siege of Dragonspear au passage. Mais je reprendrai probablement au début, autant dire que ça va me prendre longtemps avant d’en voir le bout.

Ce n’est qu’après ça que j’envisagerai enfin une partie de BG3, dont je n’ai eu que de bons (voire très bons) retours.
Le problème de Siege of Dragonspear (enfin traduit mais pas de voix fr) est qu'il déséquilibre totalement BG2 si tu importe ta sauvegarde. Normalement, tu commences la suite au niveau 7-8, mais avec cette extension : niveau 12 - 13 ! J'ai joué avec un mage et ça été une boucherie ! Tu exploses tout surtout que tu arrives au niveau 20 vraiment plus tôt et tu déloques toutes les compétences épiques. C'est simple, je n'ai rencontré de la difficulté que dans Throne of Bhaal vers la fin.
avatar
Thunker: Le problème de Siege of Dragonspear (enfin traduit mais pas de voix fr) est qu'il déséquilibre totalement BG2 si tu importe ta sauvegarde.
Je vais probablement importer ma sauvegarde de BG1 plutôt que celle de SoD pour éviter ça.

Faudra aussi que je vois si je peux importer une sauvegarde de BG1 "classique" dans SoD et BG2:EE, ou si je vais être forcé de passer par BG1:EE. Contrairement aux autres jeux Infinity Engine, BG1 est celui pour lequel je préfère jouer à l’ancienne version plutôt qu’à celle Enhanced Edition.
avatar
Thunker: Le problème de Siege of Dragonspear (enfin traduit mais pas de voix fr) est qu'il déséquilibre totalement BG2 si tu importe ta sauvegarde.
avatar
vv221: Je vais probablement importer ma sauvegarde de BG1 plutôt que celle de SoD pour éviter ça.

Faudra aussi que je vois si je peux importer une sauvegarde de BG1 "classique" dans SoD et BG2:EE, ou si je vais être forcé de passer par BG1:EE. Contrairement aux autres jeux Infinity Engine, BG1 est celui pour lequel je préfère jouer à l’ancienne version plutôt qu’à celle Enhanced Edition.
Ces versions EE ont le mérite de proposer des jeux jouables sans avoir à faire des manips ou installer des mods. Même si bon, certaines versions ont le minimum syndical.
avatar
Thunker: Ces versions EE ont le mérite de proposer des jeux jouables sans avoir à faire des manips ou installer des mods.
Oh, je n’ai jamais vraiment eu de problème à faire tourner les versions originales, sans m’embêter avec des mods (mais je ne suis pas sur Windows, ça aide probablement).

Je préfère les EE la plupart du temps pour leur prise en charge native de Linux, leur définition d’affichage plus élevée, et quelques options de confort qu’elles ajoutent. Mais dans le cas de BG1 elles modifient aussi pas mal les règles en le transposant sur le système de BG2 qui en diffère de pas mal de manières, dont la vitesse de déplacement des personnages (dans le BG1 original on ne peut généralement pas semer les ennemis, contrairement à BG2/EE) et le système d’invocation (très limité en nombre de créatures dans le système BG2/EE).
avatar
Thunker: Ces versions EE ont le mérite de proposer des jeux jouables sans avoir à faire des manips ou installer des mods.
avatar
vv221: Oh, je n’ai jamais vraiment eu de problème à faire tourner les versions originales, sans m’embêter avec des mods (mais je ne suis pas sur Windows, ça aide probablement).

Je préfère les EE la plupart du temps pour leur prise en charge native de Linux, leur définition d’affichage plus élevée, et quelques options de confort qu’elles ajoutent. Mais dans le cas de BG1 elles modifient aussi pas mal les règles en le transposant sur le système de BG2 qui en diffère de pas mal de manières, dont la vitesse de déplacement des personnages (dans le BG1 original on ne peut généralement pas semer les ennemis, contrairement à BG2/EE) et le système d’invocation (très limité en nombre de créatures dans le système BG2/EE).
Ah d'accord, ils ont fait ça pour harmoniser un peu le tout
avatar
Thunker: (…)
C’est exactement ça, mais je trouve que cette harmonisation gâche un peu BG1 (ça ne devrait par contre pas être un problème pour ceux qui le découvrent avec la version EE).

C’est pour la même raison qu’avant les EE je ne jouais pas non plus avec le mod BGT qui transposait déjà BG1 dans le moteur de BG2.
avatar
Thunker: Ces versions EE ont le mérite de proposer des jeux jouables sans avoir à faire des manips ou installer des mods.
avatar
vv221: Oh, je n’ai jamais vraiment eu de problème à faire tourner les versions originales, sans m’embêter avec des mods (mais je ne suis pas sur Windows, ça aide probablement).

Je préfère les EE la plupart du temps pour leur prise en charge native de Linux, leur définition d’affichage plus élevée, et quelques options de confort qu’elles ajoutent. Mais dans le cas de BG1 elles modifient aussi pas mal les règles en le transposant sur le système de BG2 qui en diffère de pas mal de manières, dont la vitesse de déplacement des personnages (dans le BG1 original on ne peut généralement pas semer les ennemis, contrairement à BG2/EE) et le système d’invocation (très limité en nombre de créatures dans le système BG2/EE).
Oui, c'est bien résumé. La liste des modifications est assez longue en fait... La vitesse à laquelle l'animation des flèches tirées a été réduite ; leur niveau de détail (lié aux flèches incendiaires par exemple) ainsi que dommages dans certains cas (de tête, celui des flèches acides). Ce qui, combiné à des animations d'incantation amoindries et accélérées, rendait les groupes appuyés par plusieurs archers - très efficaces dans le premier opus : aucun mage n'avait assez rapidement la moindre chance de placer un sort -, beaucoup moins désirables dans le second. Et il faudrait ajouter à cela la quantité de p'tites bourdes que les modifications ont introduites au passage - dont cette histoire d'équilibrage qui ruine l'intérêt de BG 2 -, le remplacement de la séquence d'introduction remplacement de BG 1 (sans la citation de Nietzsche, pourtant importante), etc. Je n'ai personnellement pas vraiment apprécié les partis pris esthétiques également - dans l'inventaire ou dans l'affichage des barres de vie des adversaires notamment.
Mais oui, si l'on se concentre simplement sur l'intérêt de l'ensemble de façon constructive, afin de reconnaitre ce qu'il a néanmoins apporté d'intéressant, ces éditions ont clairement permis de faire connaitre ces jeux à un autre public, de relancer un peu le développement de modifications dédiés aux nouvelles versions de Windows, etc. C'est sûr que ces détails ne dérangent à présent que les puristes (ou les vétérans ^^) qui ont clairement préféré le premier au deuxième - ce qui a été mon cas, comme VV. Je n'ai malheureusement pas beaucoup apprécié BGT pour les mêmes raisons que lui, alors que l'idée (sur le papier) paraissait excellente !
Post edited September 13, 2024 by Zaephir-Moth
le sort enchevêtrement qui ne lance qu'une attaque, les objets qui ont des caractéristiques différentes... pas mal de différence !
peut être la nostalgie qui parle mais le premier ( sans modifications) reste le meilleur à mes yeux.
Sans mentionner la voix irritante de notre douce Imoen.

Pour mon avis du 3, après 2/3 heures je suis retourné sous le premier, il n'est pas mauvais, mais la carte est mal disposé, la touche pour montrer les objet ne les donnent pas tous, mal rythmé (les phase de dialogues sont très bonne, mais une fois terminé on a l'impression d’être devant Arena (j’exagère mais ça fait bizarre de passer d'un mode plein de vie à des PNJ qui servent qu'a meublé) le scénario ne m'a pas emballé, et l'absence de Minsc en stratège/ leader de groupe (dans les comics) me désole et (je ne vois pas l’intérêt de l'appeler 3 si il n'y a pas de continuité ).
Après je l'ai testé depuis son début (acheté la semaine de son annonce, il y a quelques années) il y a probablement eu des améliorations et je ne serais dire la dernière fois que je l'ai testé.
avatar
lassiele: le sort enchevêtrement qui ne lance qu'une attaque, les objets qui ont des caractéristiques différentes... pas mal de différence !
peut être la nostalgie qui parle mais le premier ( sans modifications) reste le meilleur à mes yeux.
Sans mentionner la voix irritante de notre douce Imoen.

Pour mon avis du 3, après 2/3 heures je suis retourné sous le premier, il n'est pas mauvais, mais la carte est mal disposé, la touche pour montrer les objet ne les donnent pas tous, mal rythmé (les phase de dialogues sont très bonne, mais une fois terminé on a l'impression d’être devant Arena (j’exagère mais ça fait bizarre de passer d'un mode plein de vie à des PNJ qui servent qu'a meublé) le scénario ne m'a pas emballé, et l'absence de Minsc en stratège/ leader de groupe (dans les comics) me désole et (je ne vois pas l’intérêt de l'appeler 3 si il n'y a pas de continuité ).
Après je l'ai testé depuis son début (acheté la semaine de son annonce, il y a quelques années) il y a probablement eu des améliorations et je ne serais dire la dernière fois que je l'ai testé.
Tu as bien regardé Minsc ? Tu suivrais vraiment un type qui parle à un hamster et dont la seule stratégie est l'attaque frontale ? "La magie est impressionnante mais c'est Minsc qui commande maintenant... Des épées pour tout le monde !"
épées à deux mains pour tout le monde !
Il est en avance sur son temps, tu verras, lors de l'inclusion des hamsters plus personne ne le critiquera sur ça, soyez patient. Il faut aussi se souvenir que c'est un hamster géant des terres miniatures, c'est peut-être différent de nos bêtes, et il s'est battu avec un dragon ça n'est pas rien ! Et je parlais avec mon lapin (que j'avais appelé Jaheira, paix à son âme)

Pour en revenir à mon problème avec l'utilisation "3" c'est plus sur l'utilisation de la nostalgie que ça me dérange, ça n'est pas dans la continuité(ou je n'y ai pas assez joué), pas le même style de jeu (loin de l'infinity engine, qui reste le meilleur moteur pour JDR), la cotes des épées et la ville existait avant le chef d’œuvre de Bioware. Je ne vois aucune raison de le considéré comme une suite (Péril à Baldur's gate ou même BG tout court serait un titre plus approprié), et cet parenté me donne plus envie de reprendre les anciens... le pire étant que c'est un bon jeux malgré quelques défauts, mais face au premier il ne fait pas le poids. Accouplé à un rythme complètement en dents de scie comme s'il fallait des money shot (en y réfléchissant c’est peut être le cas pour les visionneurs "you tube" mais je digresses, n'étant pas spectateur j'en sais rien) l'on se retrouve avec des moment ou l'on se croit dans un jeu nippon dans l'intro avec un fight vitaminé, mais à la suite on continue le coté austère du combat sans fulgurance. Le problème n'est pas l'austérité, Pillars of Eternity s'en sort très bien, les dialogues sont bon, il se passe des choses à l'écran mais le rythme ne change pas, voir certaine scène se passe uniquement avec de l'écrit, mais reste cohérent avec le reste du jeu, même s'il m'a aussi envie de retourner à Baldur's gate, il me plaisait assez pour avoir envie de continuer la découverte, et de le finir.
Des combat à la Dragon Age (les 2 premiers, parce que le 3eme souffre du même défaut) serait plus appréciable plus rythmé avec des "finish" visuels, des actions qui attire le regard lors des combats, rajouté de l'action en second plan (comme dans Old réplubic des vaisseaux qui se battent et s'écrase proche pour soutenir l'action et brisé la redondance des attaques qui pour le coup sont plus rythmés).
Les défauts de cohérence du rythme et son besoin affiliation cause mon absence d’intérêt pour ce jeu.
avatar
lassiele: épées à deux mains pour tout le monde !
Il est en avance sur son temps, tu verras, lors de l'inclusion des hamsters plus personne ne le critiquera sur ça, soyez patient. Il faut aussi se souvenir que c'est un hamster géant des terres miniatures, c'est peut-être différent de nos bêtes, et il s'est battu avec un dragon ça n'est pas rien ! Et je parlais avec mon lapin (que j'avais appelé Jaheira, paix à son âme)

Pour en revenir à mon problème avec l'utilisation "3" c'est plus sur l'utilisation de la nostalgie que ça me dérange, ça n'est pas dans la continuité(ou je n'y ai pas assez joué), pas le même style de jeu (loin de l'infinity engine, qui reste le meilleur moteur pour JDR), la cotes des épées et la ville existait avant le chef d’œuvre de Bioware. Je ne vois aucune raison de le considéré comme une suite (Péril à Baldur's gate ou même BG tout court serait un titre plus approprié), et cet parenté me donne plus envie de reprendre les anciens... le pire étant que c'est un bon jeux malgré quelques défauts, mais face au premier il ne fait pas le poids. Accouplé à un rythme complètement en dents de scie comme s'il fallait des money shot (en y réfléchissant c’est peut être le cas pour les visionneurs "you tube" mais je digresses, n'étant pas spectateur j'en sais rien) l'on se retrouve avec des moment ou l'on se croit dans un jeu nippon dans l'intro avec un fight vitaminé, mais à la suite on continue le coté austère du combat sans fulgurance. Le problème n'est pas l'austérité, Pillars of Eternity s'en sort très bien, les dialogues sont bon, il se passe des choses à l'écran mais le rythme ne change pas, voir certaine scène se passe uniquement avec de l'écrit, mais reste cohérent avec le reste du jeu, même s'il m'a aussi envie de retourner à Baldur's gate, il me plaisait assez pour avoir envie de continuer la découverte, et de le finir.
Des combat à la Dragon Age (les 2 premiers, parce que le 3eme souffre du même défaut) serait plus appréciable plus rythmé avec des "finish" visuels, des actions qui attire le regard lors des combats, rajouté de l'action en second plan (comme dans Old réplubic des vaisseaux qui se battent et s'écrase proche pour soutenir l'action et brisé la redondance des attaques qui pour le coup sont plus rythmés).
Les défauts de cohérence du rythme et son besoin affiliation cause mon absence d’intérêt pour ce jeu.
Mes condoléances au sujet de Jaheira... Au moins, il n'aura pas connu le sort des p'tites bêtes dans Baldur's Gate 1, qui bondissaient, tranquilles en forêt, au milieu de la verdure . Tu sais, celles qu'un joueur taquin abattait d'une flèche en passant ou qui subissaient le souffle d'une boule de feu mal placée... [Je plaide non coupable, majesté ! Enfin, bon, d'accord, hormis une fois ou deux peut-être...]

Juger Baldur's Gate 3 sur la base de deux ou trois heures de jeu seulement, tu es peut-être un peu dur ^^... Mais il est vrai que ses débuts, surtout à partir du moment où le joueur a fini de rassembler son équipe - soit en quelques heures au plus tard -, constituent probablement la partie la plus réussie de ce dernier opus : beaucoup d'espace pour cheminer librement, beaucoup de quêtes et de possibilités de personnalisation dans leur résolution ; beaucoup de mécanismes de jouabilité à intégrer. Si, à ce moment-là, un joueur n'est pas conquis, il est peu probable que la sauce prenne plus tard, à mesure que ces possibilités s'amenuisent, que ladite jouabilité se fait plus répétitive, que l'intrigue devient plus dirigiste, etc.
Quant à cette histoire d'affiliation, elle ne concerne en fait que les vétérans : le cœur de cible visé par Larian, plus jeune - oui, près de 25 ans ont passé... -, n'en a cure (pour rester poli), n'en voit pas vraiment l'intérêt - il existe d'autres manières de poursuivre une série qu'en reprenant ses ingrédients tels quels - et souvent, sur la base de conversations avec les concernés, ne comprend tout simplement pas ce qui a pu susciter un tel intérêt à l'époque. Une affaire de valeurs... et, comme peu de joueurs parviennent à expliquer ou justifier en détail, tant soit peu objectivement, techniquement, ce qui valait le détour dans ces jeux (très bons, voire excellents, mais eux aussi) surcotés - Daggerfall, par exemple, valait (et vaut encore) au moins autant le détour que Baldur's Gate 1 -, l'ensemble finit en queue de poisson : chaque génération de joueur, peu ou prou, apprécie les références de son temps (ou essaie de les partager avec ses gamins par la suite), sans trop prêter d'attention aux précédentes - l'âge d'or des RPG de SSI des années 90, ça vous parle ^^ ? -... et sans forcément saisir l'intérêt des suivantes. Vieille histoire...

Le problème de cohérence que tu soulèves, en revanche, me semble plus réel. Mais lui aussi relève d'un souci plus général que Baldur's Gate 3 illustre un peu malgré lui... Tant qu'un jeu ne s'aventure pas à essayer de représenter un phénomène de trop près, il se prête évidemment peu à toute forme de critique correspondante. Dès lors, par contre, qu'il s'essaie plus ambitieusement à mettre en scène des dynamiques psychosociales (notamment des phénomènes de groupe), un certain réalisme visuel ou une forme de subjectivité narrative étendue - en proposant de nombreuses manières d'aboutir (légèrement) différemment à tel ou tel résultat -, eh bien forcément, le couperet tombe en conséquence... Et plus ledit jeu tendra à se rapprocher, dans ses effets, d'une scénographie élaborée - tu parlais des combats, mais le problème ne concerne pas que ceux-là -, plus les critiques risquent de fuser au moindre impair, lequel finit par devenir beaucoup plus visible, comme le nez au milieu de la figure. Baldur's Gate 3 a essayé de synthétiser une quantité d'idées, de concepts mécaniques et de thèmes narratifs faramineux - Larian a investi dedans tout ce que les membres fondateurs du studio souhaitaient adapter à l'écran depuis leurs débuts de rôlistes, s'il faut en croire les entretiens... -, mais, faute d'une finition suffisante, le résultat en paie le prix assez durement : le décalage entre ce qui parait réussi, voire très réussi, puis ce qui fonctionne nettement moins bien, voire (indépendamment de toute notion de qualité) rappelle soudainement des approches vieilles de plusieurs décennies, aboutit à des invraisemblances un peu brutales, encore accentuées par le côté farceur, gamin ou désinvolte avec lequel le studio a traité de certains éléments afin de plaire à son public ou, plus probablement, parce qu'il se souciait davantage de jouabilité que de cohérence narrative. Quitte à empiler les clichés, les concepts semi-convaincants ou les situations peu peaufinées. Et ce souci va en s'aggravant à mesure que le jeu progresse, alors même que la courbe d'intérêt du joueur, elle, suit une pente inversement décroissante...
Curieusement, c'est peut-être sur le tard, avec beaucoup moins d'éléments - la fin du développement de Baldur's Gate 3 a été marquée par nombre de renoncements à la hâte... Toute une zone de la cité a été sabrée, le volume des options de dialogue fond comme neige au soleil, la fin initiale ne valait pas grand chose, etc. -, que ce dernier opus commence à ressembler davantage à ses prédécesseurs, lesquels demeuraient beaucoup plus sobres... mais aussi plus aboutis, moins faciles à critiquer. Baldur's Gate 1 et Baldur's Gate 2, surtout le premier, étaient parvenus à une cohérence bien supérieure, plus qualitative à mon sens, à partir d'une quantité d'éléments objectivement bien moindre. Malheureusement, la comparaison implique de ne pas se limiter à compter lesdits éléments (quantité de lignes de dialogue, de ramifications scénaristiques ou d'objets, etc.). L'une des raisons du succès de Baldur's Gate 3 réside dans son gigantisme. Et les critiques n'ont globalement, à de rares exceptions, pas vraiment cherché à regarder plus loin... et, de toutes manières, se sont arrêtées à l'acte 1 dans bien des cas. Alors forcément...
Post edited September 15, 2024 by Zaephir-Moth
avatar
lassiele: épées à deux mains pour tout le monde !
Il est en avance sur son temps, tu verras, lors de l'inclusion des hamsters plus personne ne le critiquera sur ça, soyez patient. Il faut aussi se souvenir que c'est un hamster géant des terres miniatures, c'est peut-être différent de nos bêtes, et il s'est battu avec un dragon ça n'est pas rien ! Et je parlais avec mon lapin (que j'avais appelé Jaheira, paix à son âme)

Pour en revenir à mon problème avec l'utilisation "3" c'est plus sur l'utilisation de la nostalgie que ça me dérange, ça n'est pas dans la continuité(ou je n'y ai pas assez joué), pas le même style de jeu (loin de l'infinity engine, qui reste le meilleur moteur pour JDR), la cotes des épées et la ville existait avant le chef d’œuvre de Bioware. Je ne vois aucune raison de le considéré comme une suite (Péril à Baldur's gate ou même BG tout court serait un titre plus approprié), et cet parenté me donne plus envie de reprendre les anciens... le pire étant que c'est un bon jeux malgré quelques défauts, mais face au premier il ne fait pas le poids. Accouplé à un rythme complètement en dents de scie comme s'il fallait des money shot (en y réfléchissant c’est peut être le cas pour les visionneurs "you tube" mais je digresses, n'étant pas spectateur j'en sais rien) l'on se retrouve avec des moment ou l'on se croit dans un jeu nippon dans l'intro avec un fight vitaminé, mais à la suite on continue le coté austère du combat sans fulgurance. Le problème n'est pas l'austérité, Pillars of Eternity s'en sort très bien, les dialogues sont bon, il se passe des choses à l'écran mais le rythme ne change pas, voir certaine scène se passe uniquement avec de l'écrit, mais reste cohérent avec le reste du jeu, même s'il m'a aussi envie de retourner à Baldur's gate, il me plaisait assez pour avoir envie de continuer la découverte, et de le finir.
Des combat à la Dragon Age (les 2 premiers, parce que le 3eme souffre du même défaut) serait plus appréciable plus rythmé avec des "finish" visuels, des actions qui attire le regard lors des combats, rajouté de l'action en second plan (comme dans Old réplubic des vaisseaux qui se battent et s'écrase proche pour soutenir l'action et brisé la redondance des attaques qui pour le coup sont plus rythmés).
Les défauts de cohérence du rythme et son besoin affiliation cause mon absence d’intérêt pour ce jeu.
Le soucis avec Dragon Age est qu'il y a un peu trop de combats. Pour le premier encore... Je peux comprendre mais le 2 ? Sapristi ! Ça en devient ridicule surtout Kirkwall. A la fin, tu as l'impression d'avoir génocide la moitié de la ville tellement que tu as tué de bandits. Ces derniers d'ailleurs n'ont aucun sens : on se fait attaquer de partout, à ce demander à quoi sert la garde ! Un jeu avec énormément de problèmes MAIS qui a quand même un petit quelque chose qui donne envie de jouer. Le 3 semble plus poussé que son prédécesseur mais ce n'est qu'une façade : c'est rempli de fedex.
avatar
lassiele: épées à deux mains pour tout le monde !
Il est en avance sur son temps, tu verras, lors de l'inclusion des hamsters plus personne ne le critiquera sur ça, soyez patient. Il faut aussi se souvenir que c'est un hamster géant des terres miniatures, c'est peut-être différent de nos bêtes, et il s'est battu avec un dragon ça n'est pas rien ! Et je parlais avec mon lapin (que j'avais appelé Jaheira, paix à son âme)

Pour en revenir à mon problème avec l'utilisation "3" c'est plus sur l'utilisation de la nostalgie que ça me dérange, ça n'est pas dans la continuité(ou je n'y ai pas assez joué), pas le même style de jeu (loin de l'infinity engine, qui reste le meilleur moteur pour JDR), la cotes des épées et la ville existait avant le chef d’œuvre de Bioware. Je ne vois aucune raison de le considéré comme une suite (Péril à Baldur's gate ou même BG tout court serait un titre plus approprié), et cet parenté me donne plus envie de reprendre les anciens... le pire étant que c'est un bon jeux malgré quelques défauts, mais face au premier il ne fait pas le poids. Accouplé à un rythme complètement en dents de scie comme s'il fallait des money shot (en y réfléchissant c’est peut être le cas pour les visionneurs "you tube" mais je digresses, n'étant pas spectateur j'en sais rien) l'on se retrouve avec des moment ou l'on se croit dans un jeu nippon dans l'intro avec un fight vitaminé, mais à la suite on continue le coté austère du combat sans fulgurance. Le problème n'est pas l'austérité, Pillars of Eternity s'en sort très bien, les dialogues sont bon, il se passe des choses à l'écran mais le rythme ne change pas, voir certaine scène se passe uniquement avec de l'écrit, mais reste cohérent avec le reste du jeu, même s'il m'a aussi envie de retourner à Baldur's gate, il me plaisait assez pour avoir envie de continuer la découverte, et de le finir.
Des combat à la Dragon Age (les 2 premiers, parce que le 3eme souffre du même défaut) serait plus appréciable plus rythmé avec des "finish" visuels, des actions qui attire le regard lors des combats, rajouté de l'action en second plan (comme dans Old réplubic des vaisseaux qui se battent et s'écrase proche pour soutenir l'action et brisé la redondance des attaques qui pour le coup sont plus rythmés).
Les défauts de cohérence du rythme et son besoin affiliation cause mon absence d’intérêt pour ce jeu.
avatar
Zaephir-Moth: Mes condoléances au sujet de Jaheira... Au moins, il n'aura pas connu le sort des p'tites bêtes dans Baldur's Gate 1, qui bondissaient, tranquilles en forêt, au milieu de la verdure . Tu sais, celles qu'un joueur taquin abattait d'une flèche en passant ou qui subissaient le souffle d'une boule de feu mal placée... [Je plaide non coupable, majesté ! Enfin, bon, d'accord, hormis une fois ou deux peut-être...]

Juger Baldur's Gate 3 sur la base de deux ou trois heures de jeu seulement, tu es peut-être un peu dur ^^... Mais il est vrai que ses débuts, surtout à partir du moment où le joueur a fini de rassembler son équipe - soit en quelques heures au plus tard -, constituent probablement la partie la plus réussie de ce dernier opus : beaucoup d'espace pour cheminer librement, beaucoup de quêtes et de possibilités de personnalisation dans leur résolution ; beaucoup de mécanismes de jouabilité à intégrer. Si, à ce moment-là, un joueur n'est pas conquis, il est peu probable que la sauce prenne plus tard, à mesure que ces possibilités s'amenuisent, que ladite jouabilité se fait plus répétitive, que l'intrigue devient plus dirigiste, etc.
Quant à cette histoire d'affiliation, elle ne concerne en fait que les vétérans : le cœur de cible visé par Larian, plus jeune - oui, près de 25 ans ont passé... -, n'en a cure (pour rester poli), n'en voit pas vraiment l'intérêt - il existe d'autres manières de poursuivre une série qu'en reprenant ses ingrédients tels quels - et souvent, sur la base de conversations avec les concernés, ne comprend tout simplement pas ce qui a pu susciter un tel intérêt à l'époque. Une affaire de valeurs... et, comme peu de joueurs parviennent à expliquer ou justifier en détail, tant soit peu objectivement, techniquement, ce qui valait le détour dans ces jeux (très bons, voire excellents, mais eux aussi) surcotés - Daggerfall, par exemple, valait (et vaut encore) au moins autant le détour que Baldur's Gate 1 -, l'ensemble finit en queue de poisson : chaque génération de joueur, peu ou prou, apprécie les références de son temps (ou essaie de les partager avec ses gamins par la suite), sans trop prêter d'attention aux précédentes - l'âge d'or des RPG de SSI des années 90, ça vous parle ^^ ? -... et sans forcément saisir l'intérêt des suivantes. Vieille histoire...

Le problème de cohérence que tu soulèves, en revanche, me semble plus réel. Mais lui aussi relève d'un souci plus général que Baldur's Gate 3 illustre un peu malgré lui... Tant qu'un jeu ne s'aventure pas à essayer de représenter un phénomène de trop près, il se prête évidemment peu à toute forme de critique correspondante. Dès lors, par contre, qu'il s'essaie plus ambitieusement à mettre en scène des dynamiques psychosociales (notamment des phénomènes de groupe), un certain réalisme visuel ou une forme de subjectivité narrative étendue - en proposant de nombreuses manières d'aboutir (légèrement) différemment à tel ou tel résultat -, eh bien forcément, le couperet tombe en conséquence... Et plus ledit jeu tendra à se rapprocher, dans ses effets, d'une scénographie élaborée - tu parlais des combats, mais le problème ne concerne pas que ceux-là -, plus les critiques risquent de fuser au moindre impair, lequel finit par devenir beaucoup plus visible, comme le nez au milieu de la figure. Baldur's Gate 3 a essayé de synthétiser une quantité d'idées, de concepts mécaniques et de thèmes narratifs faramineux - Larian a investi dedans tout ce que les membres fondateurs du studio souhaitaient adapter à l'écran depuis leurs débuts de rôlistes, s'il faut en croire les entretiens... -, mais, faute d'une finition suffisante, le résultat en paie le prix assez durement : le décalage entre ce qui parait réussi, voire très réussi, puis ce qui fonctionne nettement moins bien, voire (indépendamment de toute notion de qualité) rappelle soudainement des approches vieilles de plusieurs décennies, aboutit à des invraisemblances un peu brutales, encore accentuées par le côté farceur, gamin ou désinvolte avec lequel le studio a traité de certains éléments afin de plaire à son public ou, plus probablement, parce qu'il se souciait davantage de jouabilité que de cohérence narrative. Quitte à empiler les clichés, les concepts semi-convaincants ou les situations peu peaufinées. Et ce souci va en s'aggravant à mesure que le jeu progresse, alors même que la courbe d'intérêt du joueur, elle, suit une pente inversement décroissante...
Curieusement, c'est peut-être sur le tard, avec beaucoup moins d'éléments - la fin du développement de Baldur's Gate 3 a été marquée par nombre de renoncements à la hâte... Toute une zone de la cité a été sabrée, le volume des options de dialogue fond comme neige au soleil, la fin initiale ne valait pas grand chose, etc. -, que ce dernier opus commence à ressembler davantage à ses prédécesseurs, lesquels demeuraient beaucoup plus sobres... mais aussi plus aboutis, moins faciles à critiquer. Baldur's Gate 1 et Baldur's Gate 2, surtout le premier, étaient parvenus à une cohérence bien supérieure, plus qualitative à mon sens, à partir d'une quantité d'éléments objectivement bien moindre. Malheureusement, la comparaison implique de ne pas se limiter à compter lesdits éléments (quantité de lignes de dialogue, de ramifications scénaristiques ou d'objets, etc.). L'une des raisons du succès de Baldur's Gate 3 réside dans son gigantisme. Et les critiques n'ont globalement, à de rares exceptions, pas vraiment cherché à regarder plus loin... et, de toutes manières, se sont arrêtées à l'acte 1 dans bien des cas. Alors forcément...
Je suis pas au courant de tout ce qui a "sauté" au cours du développement. C'est bien de faire des zones "ouvertes" et encore... Ce terme est légèrement mensongé vu qu'est par zone de chargement et chapitres. On est pas par exemple dans un Gothic 3 où tu peux tracer ta route du nord au sud sans zone de chargement.
Post edited September 15, 2024 by Thunker
avatar
Zaephir-Moth: Curieusement, c'est peut-être sur le tard, avec beaucoup moins d'éléments - la fin du développement de Baldur's Gate 3 a été marquée par nombre de renoncements à la hâte... Toute une zone de la cité a été sabrée, le volume des options de dialogue fond comme neige au soleil, la fin initiale ne valait pas grand chose, etc. -, que ce dernier opus commence à ressembler davantage à ses prédécesseurs, lesquels demeuraient beaucoup plus sobres... mais aussi plus aboutis, moins faciles à critiquer. Baldur's Gate 1 et Baldur's Gate 2, surtout le premier, étaient parvenus à une cohérence bien supérieure, plus qualitative à mon sens, à partir d'une quantité d'éléments objectivement bien moindre. Malheureusement, la comparaison implique de ne pas se limiter à compter lesdits éléments (quantité de lignes de dialogue, de ramifications scénaristiques ou d'objets, etc.). L'une des raisons du succès de Baldur's Gate 3 réside dans son gigantisme. Et les critiques n'ont globalement, à de rares exceptions, pas vraiment cherché à regarder plus loin... et, de toutes manières, se sont arrêtées à l'acte 1 dans bien des cas. Alors forcément...
avatar
Thunker: Je suis pas au courant de tout ce qui a "sauté" au cours du développement. C'est bien de faire des zones "ouvertes" et encore... Ce terme est légèrement mensongé vu qu'est par zone de chargement et chapitres. On est pas par exemple dans un Gothic 3 où tu peux tracer ta route du nord au sud sans zone de chargement.
Beaucoup de bricoles coupées... En plus des "bas quartiers", la ville devait inclure une zone de plus, les "beaux quartiers" (Upper City), qui aurait agrandi un peu la superficie de jeu et devait inclure du matériel de quête en l'absence duquel certains relations avec des PNJ (ainsi que Karlach) se sont retrouvées sans conclusion satisfaisante. Ça à bien gueulé sur les forums anglophones après la sortie...
Curieusement - mais ça en dit long sur le peu d'usage que Larian a fait d'un matériel fictionnel pourtant hors norme -, les Gothic m'avaient paru plus convaincants à certains égards, dans la construction de leurs univers (simples, clairs et vraiment cohérents), que Baldur's Gate 3. Mais, bon, il faut garder en tête que ce genre d'APRG, un peu comme les Elder Scrolls, n'a pas pour vocation de respecter la structure classique d'un scénario d'AD&D. En ce sens, les soucis de ce dernier opus, ici aussi, relèvent d'un parti pris inhérent aux demandes de Wizards of the Coast. Larian n'a fait qu'exécuter son contrat à ce niveau, quitte à ce que le résultat aboutisse plus à une adaptation de jeu de rôle qu'à un jeu vidéo indépendant...
Post edited September 15, 2024 by Zaephir-Moth
Jaheira a bien vécu, mais je te remercie pour ces mots, même si dans la vrai vie il n'y a pas de touche ctrl ou de possibilité pour cliquer sur une arme pour une attaque forcée.

ça reste justement mon problème vis à vis de ce jeu: vendre une suite qui n'en est pas une pour un publique qui n'est pas concerné.
Je vais le redire mais le jeu me semble bon malgré ses défauts,mais si tu viens me faire miroité Baldur's Gate 1 pourquoi m'infliger un plus mauvais jeu alors que je peux facilement jouer à l'original, on est pas sur un Star Général ou le fait d'utiliser Dos Box limite le nombre d'unités (mais l'installation de DX3 qui est le seul qui fait fonctionner le jeux sous windows malgré des bugs avec une carte ATI) ou autre jeu ou l'on perd quelque chose à tenter de le faire tourner actuellement, Baldur's Gate 1 "Vanilla" tourne sans problème sur nos machines. Jouer au troisième c'est accepter d'avoir moins bien (pas nul,juste moins bien) avec une petite voix derrière qui te dis il existe mieux et tu y a gouté ! et que c'est moins bien sans proposer quelque chose qui te permette d'accepter cette différence.
J'ai exagéré en parlant de 2/3 heures, j'y ai laissé sa chance je suis arrivé bien loin avec une équipe complète, des possibilité de changement dans l"équipe j'y suis retourné pendant une semaine sur ma run la plus longue (et j'ai réessayé a plusieurs reprises), mais le constat ne changeait pas, un rappel constant à ce chef d’œuvre pour un bon jeu certes, mais si j'ai le choix entre Carrie Fisher et Heather Locklear, le capitaine Kirk me rappellera toujours que dans l'espace les hutts ont meilleurs goût.
Le même problème se pose pour Doom, tout nouvel épisode que je lance me dis relance l'original, pour Langrisser relance le Der Langrisser FX , pour Princess Maker relance le 2 ! quand on touché au génie difficile d"accepter moindre quand rien ne nous y oblige

Pour Dragon Age il est question du déroulement du combat, avec tout un tas d'animation inutile mais cinématographique, le voleur escaladant l'ogre à l'aide de ses dagues pour y trancher la gorge et autre animations superflues certes, mais rendant l'action plus dynamique, vivant. Pour les jeux si le premier est très bon le second offre un challenge chiant, et un scénario certes bien écrit et marrant ou le "conteur" revient sur ses propos pendant le jeu mais au final plus un chapitre ou une aventure annexe qu'un vrai jeu. Le 3 m'a finalement fait arrêté de précommander les jeux Bioware.
avatar
lassiele: Jaheira a bien vécu, mais je te remercie pour ces mots, même si dans la vrai vie il n'y a pas de touche ctrl ou de possibilité pour cliquer sur une arme pour une attaque forcée.

ça reste justement mon problème vis à vis de ce jeu: vendre une suite qui n'en est pas une pour un publique qui n'est pas concerné.
Je vais le redire mais le jeu me semble bon malgré ses défauts,mais si tu viens me faire miroité Baldur's Gate 1 pourquoi m'infliger un plus mauvais jeu alors que je peux facilement jouer à l'original, on est pas sur un Star Général ou le fait d'utiliser Dos Box limite le nombre d'unités (mais l'installation de DX3 qui est le seul qui fait fonctionner le jeux sous windows malgré des bugs avec une carte ATI) ou autre jeu ou l'on perd quelque chose à tenter de le faire tourner actuellement, Baldur's Gate 1 "Vanilla" tourne sans problème sur nos machines. Jouer au troisième c'est accepter d'avoir moins bien (pas nul,juste moins bien) avec une petite voix derrière qui te dis il existe mieux et tu y a gouté ! et que c'est moins bien sans proposer quelque chose qui te permette d'accepter cette différence.
J'ai exagéré en parlant de 2/3 heures, j'y ai laissé sa chance je suis arrivé bien loin avec une équipe complète, des possibilité de changement dans l"équipe j'y suis retourné pendant une semaine sur ma run la plus longue (et j'ai réessayé a plusieurs reprises), mais le constat ne changeait pas, un rappel constant à ce chef d’œuvre pour un bon jeu certes, mais si j'ai le choix entre Carrie Fisher et Heather Locklear, le capitaine Kirk me rappellera toujours que dans l'espace les hutts ont meilleurs goût.
Le même problème se pose pour Doom, tout nouvel épisode que je lance me dis relance l'original, pour Langrisser relance le Der Langrisser FX , pour Princess Maker relance le 2 ! quand on touché au génie difficile d"accepter moindre quand rien ne nous y oblige

Pour Dragon Age il est question du déroulement du combat, avec tout un tas d'animation inutile mais cinématographique, le voleur escaladant l'ogre à l'aide de ses dagues pour y trancher la gorge et autre animations superflues certes, mais rendant l'action plus dynamique, vivant. Pour les jeux si le premier est très bon le second offre un challenge chiant, et un scénario certes bien écrit et marrant ou le "conteur" revient sur ses propos pendant le jeu mais au final plus un chapitre ou une aventure annexe qu'un vrai jeu. Le 3 m'a finalement fait arrêté de précommander les jeux Bioware.
C'est que les animations de finish sont certes "impressionnantes" mais ne servent à rien. Les combats sont classiques mais j'ai bien aimé les quelques subtilités comme graisse + sort de feu pour faire une zone enflammée. Bon, ça a depuis été amélioré dans d'autres jeux mais c'était l'un des arguments "majeurs" en faveur du système de combat de Dragon Age.

Le 2 a quelques moments sympathiques mais c'est majoritairement pas "ouf". Ce que je lui reproche vraiment c'est ses compagnons. Merrill par exemple qui passe d'elfe "normale" dans le 1 à complètement tarée et tête à claque dans le 2. C'est bien de nous mettre une certaine possibilité d'aider les templiers ou les mages... Mais quand tu vois tes fréquentations entre cette cinglée d'elfe et Anders qui est tout aussi dinguo... T'a juste envie de les livrer au bûcher. Action que j'aurai fait avec grand plaisir. Tout comme Isabella qui est tout aussi claquée. Les autres compagnons... Sont OK. Fenris par exemple est intéressant sur le papier mais peu exploité.