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Personne n'a incarné Batman mieux que George Clooney ! Non, c'est une blague. Aujourd'hui, nous montons à bord de la Batmobile et attachons nos ceintures pour lister les titres palpitants, sombres et parfois amusants autour du Chevalier noir et jouables sur PC.

Batpixels
Les années 80 ont été fructueuses pour notre héros. À commencer par la BD The Dark Knight Returns de Frank Miller, qui a donné à l'histoire de Batman une direction plus sombre que la précédente adaptation un brin niaise d'Adam West. S'en est suivi le film réalisé par Tim Burton en 1989, qui a réussi à transformer ce comic culte en franchise cinématographique à succès. Et enfin, en 1986, le premier jeu vidéo Batman sort sur ZX Spectrum.

Depuis cette date charnière, les jeux figurant le héros masqué ont fait pas mal de chemin, alors jetons ensemble un œil aux meilleurs jeux Batman disponibles sur GOG.COM.



Batman: Arkham Asylum (2009)
Malgré ses 10 printemps, la première partie (saluée dans le monde entier) de la série d'action à la troisième personne signée Rocksteady Studio tient toujours le coup. Dans ce jeu, Batman se retrouve coincé dans l'enceinte étouffante de l'asile d'Arkham, où il doit combattre pour sa survie.

Parmi les fonctionnalités les plus remarquées du jeu figurent son atmosphère et ses combats dynamiques à mains nues. Vous retrouverez également avec délectation les voix de Kevin Conroy et Mark Hamill, dans les rôles respectifs de Batman et du Joker.



Batman: Arkham City (2011)
Les créateurs de cette suite ont repris tout ce qui fonctionnait dans Arkham Asylum et l'ont réinjecté dans l'exploration d'un vaste monde ouvert. Batman: Arkham City suit la création d'un nouvel asile destiné aux dangereux criminels, dans l'un des quartiers retranchés de Gotham City.

Bruce Wayne, qui s'y retrouve détenu après avoir été arrêté et infecté par la dangereuse maladie du Joker, se lance dans une course désespérée contre la montre. Une fois de plus, il doit se frayer un chemin grâce au mélange d'arts martiaux et de furtivité qui ont fait sa réputation en tant que Batman.



Batman: Arkham Origins (2013)
Partons cette fois pour un voyage dans le temps, car Batman: Arkham Origins est une préquelle située cinq ans avant les évènements d'Arkham Asylum.

Le jeu est l'œuvre d'un nouveau studio, WB Games Montréal : le gameplay est visuellement très différent de ses prédécesseurs, offre de nouveaux doubleurs voix, un monde ouvert encore plus vaste et de nouveaux éléments d'enquête. Batman doit affronter huit assassins bien décidés à le tuer et attirés à Gotham par le célèbre parrain du crime, Black Mask.



Batman: Arkham Knight (2015)
C'est Rocksteady Studio qui est aux commandes de la dernière partie de la série des Arkham (jusqu'à ce jour). Des mois après la fin de l'histoire d'Arkham City, Batman explore les rues abandonnées d'Arkham City, après que l'infâme Épouvantail a menacé d'empoisonner les habitants avec sa nouvelle toxine.

Dans Arkham Knight, notre héros se déplace en Batmobile. Elle lui sera fort pratique, car le monde du jeu est cinq fois plus grand que dans Arkham City.



Batman de Telltale Games
Si vous préférez les jeux de réflexion aux jeux d'action, les deux aventures de Batman conçues par Telltale Games vous captiveront. Ici, chaque décision compte et affecte le dénouement de l'histoire.

Dans Batman - The Telltale Series, notre héros doit combattre le crime tout en se dégageant d'une lutte de pouvoir politique au sein de Gotham. Batman : L'ennemi à l'intérieur, Batman doit affronter la mystérieuse organisation appelée l'AGENCE.



LEGO Batman: Le jeu vidéo
Ce jeu d'action/aventure très drôlevous permet de rejoindre le duo de justiciers Batman et son acolyte Robin dans leur combat contre les criminels les plus recherchés de Gotham City.

Dans la suite du jeu, LEGO Batman 2: DC Super Heroes, notre duo est aidé par d'autres champions comme Superman et Wonder Woman. Ensemble, ils parviennent à réduire les criminels en tas de petites briques. Dans LEGO Batman 3: Beyond Gotham, Batman s'allie aux autre héros de DC Comics et part dans l'espace pour empêcher le maléfique Brainiac de détruire la terre.

Vous avez hâte d'enfiler la cape du Chevalier noir ? Parcourez vite les nouveaux titres Batman disponibles sur GOG.COM et vivez les histoires de l'un des héros de comics les plus appréciés au monde. Pour info, le meilleur Batman, c'est Michael Keaton ! Prouvez-moi le contraire !
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damien_: Pour moi, c'est Christian Bale qui a le mieux incarné Batman :)

Bonne nouvelle que les sorties de la serie Batman arkham !

Merci à Gog et Warner !

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pe7ouill3: Une bien belle surprise.

Une ame charitable pourait elle me confirmer que :
- origins est le seul sans GOTY ?
- les seasons pass ne servent a rien si on prend la GOTY ?

Excusez la question con mais j aimerai eviter les boulettes. Merci
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damien_: Les 2 1ers : arkham city et arkham asylum sont uniquement GOTY (version complete) sur Gog, les 2 suivants sont séparé, mais le dernier arkham knight a aussi une version "premium edition" = GOTY.
Faut avouer que c'est un peu "brouillon" tout ça...
Merci encore pour ta réponse claire. Oui je trouve ça pas forcément logique. Fiorce est de constater que steam la présentation est plus claire. On te dis que Batman arkham knight en premium contient tel et tel dlc. Pourtant d habitude la fiche du jeu sur Gog est plus explicite. Bon jeu
Les jeux multiplateformes sont avant tout pensé pour joué sur console et manette . Mais les arkham reste quand meme tres jouable au clavier. Shenmue 3 que je suis actuellement est tres peu jouable au clavier quasi obligé de passé a la manette comme les jeux lego (lego batman par exemple) ou le clavier est quasi injouable.
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LoneWolf.007: la consolisation ... Arkham Asylum pourrait mieux te plaire ^^
Okay merci.

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Zaephir-Moth: peu prennent (vraiment) leurs distances avec le système que tu critiques-là
Je ne dis pas le contraire. La différence par rapport à avant est que le gentil infantilisme des œuvres de super-héros est là utilisé pour vraiment nous insulter, explicitement "il faut mentir au peuple". C'est comme si dans l'heroic-fantasy, voire Tolkien, qui est souvent des mondes monarchistes, à la fin il y avait une morale politique explicitement monarchiste crachant sur les paysans. Puis vient Macron, dans le même genre de discours "en même temps".
Ça m'avait marqué, et j'ai été surpris que David Graeber aussi remarque ça dans toute une partie Batman d'un de ses derniers bouquin.
Post edited November 29, 2020 by ERISS
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pe7ouill3: Une bien belle surprise.

Une ame charitable pourait elle me confirmer que :
- origins est le seul sans GOTY ?
- les seasons pass ne servent a rien si on prend la GOTY ?

Excusez la question con mais j aimerai eviter les boulettes. Merci
Avis perso, le season pass - "Batman™: Arkham Knight Season Pass" - n'est pas très utile.
Je le trouve vraiment très dispensable.

Celui de "Batman™: Arkham Origins" par contre, est pas mal (il est tout de même facultatif).
Post edited November 29, 2020 by FlaW313
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pe7ouill3: Une bien belle surprise.

Une ame charitable pourait elle me confirmer que :
- origins est le seul sans GOTY ?
- les seasons pass ne servent a rien si on prend la GOTY ?

Excusez la question con mais j aimerai eviter les boulettes. Merci
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FlaW313: Avis perso, le season pass - "Batman™: Arkham Knight Season Pass" - n'est pas très utile.
Je le trouve vraiment très dispensable.

Celui de "Batman™: Arkham Origins" par contre, est pas mal (il est tout de même facultatif).
C'est vrai que la mode des "dlc" est devenu une habitude, ca donne toujours une (fausse?) impression qu'on n'a pas un jeu "complet".
A part quelque jeux ou il y a vraiment une histoire/campagne complémentaire, sinon la plus part du temps ça n'apporte pas grand chose, le reste c'est surtout pour les "fans" ou alors quand le jeu a beaucoup baissé ça peut être intéressant...
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damien_: C'est vrai que la mode des "dlc" est devenu une habitude, ca donne toujours une (fausse?) impression qu'on n'a pas un jeu "complet".
A part quelque jeux ou il y a vraiment une histoire/campagne complémentaire, sinon la plus part du temps ça n'apporte pas grand chose, le reste c'est surtout pour les "fans" ou alors quand le jeu a beaucoup baissé ça peut être intéressant...
Il semble que nous aynons le même avis; tu as complètement et très bien résumé ma pensée sur le principe du DLC.
:)
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LoneWolf.007: la consolisation ... Arkham Asylum pourrait mieux te plaire ^^
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ERISS: Okay merci.

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Zaephir-Moth: peu prennent (vraiment) leurs distances avec le système que tu critiques-là
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ERISS: Je ne dis pas le contraire. La différence par rapport à avant est que le gentil infantilisme des œuvres de super-héros est là utilisé pour vraiment nous insulter, explicitement "il faut mentir au peuple". C'est comme si dans l'heroic-fantasy, voire Tolkien, qui est souvent des mondes monarchistes, à la fin il y avait une morale politique explicitement monarchiste crachant sur les paysans. Puis vient Macron, dans le même genre de discours "en même temps".
Ça m'avait marqué, et j'ai été surpris que David Graeber aussi remarque ça dans toute une partie Batman d'un de ses derniers bouquin.
Oui, je vois ce que tu veux dire. Disons qu'associer aussi explicitement, comme tu dis, la justification de certains mensonges envers l'opinion publique (dans le second film de la trilogie) à la relative (mais réelle) ignorance des gens ne constitue probablement pas la meilleure idée qu'aient eu les scénaristes à l’œuvre ^^... C'est sûr que présenté ainsi, ça peut paraitre vraiment insultant, surtout pour quiconque d'un peu 'engagé' (si tant est que cela veuille dire quelque chose) dans le bordel politico-économico-écologique mondial en ce moment - même sans Macron et les néo-libéraux -, nous sommes d'accord. Je n'ai pas souvenir d'avoir lu ce passage de Graeber au sujet de Batman - ça m'aurait intéressé, tiens -, mais cela ne m'étonne pas qu'il ait gueulé à ce sujet ^^. Cela dit, tu noteras que ce passage n'a pas choqué grand monde en général - à l'échelle des critiques dudit film ou des conversations à son sujet au moment de sa sortie -, tant la problématique de l'adéquation entre une vérité (ou connaissance) donnée et les prédispositions du public auquel elle est communiquée demeure, en soi, non seulement légitime et appropriée, mais parfaitement banale dans certains domaines importants (comme l'éducation) qui concernent tout le monde au quotidien. Un prof', à partir d'un corpus de connaissances données, n'en transmet jamais que ce qu'il pense pouvoir enseigner avec succès à certains personnes. Cette graduation se retrouve dans bien des domaines - de la politique réelle à la littérature de fiction -, pose toutes sortes de problèmes et fera toujours (à mon avis) débattre autrui quant au 'meilleur modèle possible' en la matière De sorte que tout n'est (et ne sera) jamais accessible à tout le monde et que ce genre de tournure scénaristique constitue un classique depuis longtemps. Si bien qu'au sujet des (super-)héros, je ne pense pas que :

1) Les films de Nolan aient inventé grand chose. Que le (super-)héro, soit étymologiquement un simple 'serviteur' - ce que nous sommes tous d'une certaine manière, comme dans la chanson de Bowie ^^ -, relève d'une sorte de mythologie moderne un tantinet puérile - voire infantilisante, je suis d'accord - pleine de corps hypertrophiés, de bagarres et tourments émotionnels, ça n'a rien de neuf. Des (super-)héros vengeurs du temps jadis qui, au moins dans l'apparence (phénoménologique), se rapprochaient beaucoup d'un Batman, il en existe beaucoup... et ils ont souvent représenté des espèces d'armes ultimes - ou "roue de secours", oui -, masquées et cachées, pour toute système politique dépassé par les évènements. Quand bien même, effectivement, il serait partiellement la cause des dysfonctionnements concernés... Mais bon, nous parlons-là des USA, hein ! L'approche éducative et préventive (en amont) du crime n'y fait pas (pour le moment) autant recette que celle punitive en aval... Encore un facteur pour expliquer, au moins en partie, la popularité des "vigilantes" et autre formes d'auto-justice, donc des avatars surpuissants comme un Batman. Je ne suis donc pas convaincu que les super-héros de Marvel aient tant évolués entre leurs débuts (il y a 60 à 80 années) et actuellement. Tout comme je ne pense pas qu'il existe un écart énorme entre la figure du privé (détective) des films noirs originels et ceux actuels ; entre la figure originelle d'un Sherlock Holmes ou d'un Juge Ti et ses interprétations plus contemporaines. Après, oui, l'entendement existentiel des gens, leurs conceptions de la vie et rapports au quotidien, ont connu des transformations considérables que ces espèces de contes et légendes modernes reflètent aussi, c'est vrai. Mais ça, c'est une autre histoire...

2) Ce genre de propos soit si (volontairement) insultant que cela.Tout rapporter (ou mettre sur le dos) systématiquement de modèles politiques et économiques, avec une lecture assez radicale en plus (comme celle de Graeber et des anarchistes en général), c'est un pas que je ne franchirais personnellement pas. Ca entraine effectivement, comme tu dis, des conclusions assez violentes, souvent manichéennes, sinon en tout cas (toujours) dichotomiques : l'on finit notamment par ne plus voir l'Histoire humaine qu'en terme d'antagonismes à des fins souvent chimériques (d'un côté comme de l'autre). X contre Y ; Y se moque de Z ; Z s'allie à A pour faire tomber B, etc. Ce qui convient très bien à des personnes dont les grilles de lecture envisagent le monde 'classe contre classe', 'camp contre camp', 'idéologie contre idéologie', mais reste contestable. Non pas évidemment que lesdits conflits n'existent pas - et nous ne tomberons jamais à court d'éléments pouvant être jugés potentiellement (et légitimement) 'insultants' -, mais la réalité ne se limite (heureusement) pas à cela. Si bien que, par-delà des différences (et différends) dont il est question, il y a notamment aussi moyen d'envisager le monde indépendamment de ces systèmes, camps et classes, en renvoyant notamment chacun à (son existence, ses choix, donc à) ses responsabilités individuelles, donc généralement à des vies et des désirs (ou des intentions) somme toute (très) modérés et moins (volontairement) agressif envers autrui. Ils le sont parfois explicitement, comme c'est le cas des romans de Tom Clancy (et les jeux correspondants), qui représentent autant d'apologies du matérialisme capitaliste, militarisme triomphant et (surtout) de l'hyperindividualisme 'libéré', moderne, des Etats-Unis. C'est un fait que revendiquait même l'auteur concerné et je me souviens notamment de son "Les (Amé)Indiens ? Bah, un peuple de primitifs qui n'ont jamais su faire qu'une chose : confectionner des colifichets sur la base de ceux que nous leur avons apporté !", en réponse à un journaliste qui lui demandait de commenter le passé (sanglant) de l'expansion colonialiste à travers le Far West. Lisez ou relisez "A la poursuite d'Octobre Rouge" (sans Sean Connery ^^) : c'en est à pleurer (de rire) tant c'est méprisant. Là, oui, il est question de propos insultants. Mais de là à voir la même chose dans la trilogie de Nolan et un peu partout dans les œuvres de fiction... Heureusement, comme tu le dis au conditionnel, il n'y a pas (encore) trop de gens pour commencer à disséquer les implications potentiellement insultantes de tous les produits culturels de l'imagination humaine, jusqu'à la Fantasy et la Terre du Milieu de Tolkien... Non pas que cela se pratique pas déjà - le thème des SJW correspond à cela -, notamment dans nombre d’œuvre classiques - "Astérix", "Tintin", "Bob Morane", etc. - passées au crible des soucis d'une multiplicité (de revendications individualistes) peu soucieuse de transcendance, mais nous devrions (pour l'instant) encore pouvoir continuer à tabasser du clown masqué dans les rues de Gotham sans trop nous en préoccuper ^^ !

PS : Désolé pour la longueur ! Ce genre de thème fait partie de mes sujets d'étude et m'intéresse vite ^^. Plus que le (relatif) problème des DLC par exemple, qui ne représenteront jamais qu'un modèle économique basé sur le suivi, l'abonnement et la fidélisation de la clientèle, dont chaque éditeur (et développeur) peut plus ou moins honnêtement faire usage. Il y aura ensuite toujours du bon, du moins bon et du minable dans le lot...
Post edited November 30, 2020 by Zaephir-Moth
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Zaephir-Moth: associer aussi explicitement la justification de certains mensonges envers l'opinion publique à la relative ignorance des gens ne constitue probablement pas la meilleure idée qu'aient eu les scénaristes à l’œuvre ^^. Cela dit, tu noteras que ce passage n'a pas choqué grand monde en général, tant la problématique de l'adéquation entre une vérité (ou connaissance) donnée et les prédispositions du public auquel elle est communiquée demeure, en soi, non seulement légitime et appropriée, mais parfaitement banale dans certains domaines importants (comme l'éducation) qui concernent tout le monde au quotidien. Un prof', à partir d'un corpus de connaissances données, n'en transmet jamais que ce qu'il pense pouvoir enseigner avec succès à certains personnes. Cette graduation se retrouve dans bien des domaines - de la politique réelle à la littérature de fiction -, pose toutes sortes de problèmes et fera toujours (à mon avis) débattre autrui quant au 'meilleur modèle possible' en la matière De sorte que tout n'est (et ne sera) jamais accessible à tout le monde et que ce genre de tournure scénaristique constitue un classique depuis longtemps.
Sauf que là le scénariste supprime l'innocence du monde, il explicite le mensonge comme constitution volontaire, il "subvertie l'esprit de la jeunesse", la corrompt en lui faisant accepter le mensonge, en fait de vivre dans l'absence de principe de réalité: le Jocker n'est pas qui on croit... Si ce n'est insultant, c'est au moins méprisant, nous prenant comme d'irrémédiables tarés.
Dans une œuvre, chargée de divertir, c'est une énorme faute, car alors le super-héros n'a plus rien de super, ou plutôt plus rien de héros.
Mais évidemment qu'en dehors du divertissement je ne pleure pas la mise évidence de cette réalité qu'est le mensonge institutionnel.

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Zaephir-Moth: Si bien qu'au sujet des (super-)héros, je ne pense pas que :

1) Les films de Nolan aient inventé grand chose. Tout comme je ne pense pas qu'il existe un écart énorme entre la figure du privé (détective) des films noirs originels et ceux actuels
Tu ne connais pas beaucoup alors le roman noir (je ne parle pas du polard, littérature policière), par exemple Didier Daeninckx ou Jean-Bernard Pouy.

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Zaephir-Moth: 2) Tout rapporter systématiquement de modèles politiques et économiques, avec une lecture assez radicale en plus (comme celle des anarchistes en général), c'est un pas que je ne franchirais personnellement pas. Ca entraine effectivement, comme tu dis, des conclusions assez violentes toujours dichotomiques : l'on finit notamment par ne plus voir l'Histoire humaine qu'en terme d'antagonismes, mais la réalité ne se limite (heureusement) pas à cela.
Là tu parles des marxistes, et non des anarchistes.

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Zaephir-Moth: Si bien que, par-delà des différences (et différends) dont il est question, il y a notamment aussi moyen d'envisager le monde indépendamment de ces systèmes, camps et classes, en renvoyant notamment chacun à (son existence, ses choix, donc à) ses responsabilités individuelles, donc généralement à des vies et des désirs (ou des intentions) somme toute (très) modérés et moins (volontairement) agressif envers autrui.
Voilà, la position anarchiste. Elle reconnait la lutte des classes, mais ne se base pas que sur ça, elle est majeure mais aussi relative.
Post edited November 30, 2020 by ERISS
J'entends bien ce que tu dis, Eriss, et suis d'accord avec toi sur le fait que ce genre de film ne présente guère de (super-) héros vertueux (quelles que soient les vertus que l'on voudra bien leur rattacher), au service de quelque chose qui permettrait de transcender un peu la couche (épaisse, tiède et cynique) de pragmatisme matérialisto-capitalisto-égocentrique qui sert à justifier (sinon légitimer) leurs actions. Mais comme dit, je n'ai rien perçu de neuf (du tout) dans les films de Nolan à cet égard... Batman naviguait déjà en eaux troubles en 86 lorsque Miller a publié son "The Dark Knight Returns" par exemple ; répondait aussi "Yes sir !" ou "Thank you Mr President !" à l'autorité dans les années 60 (en plus d'avoir participé à la chasse aux vilains socialistes, comme tous les super-héros de son temps), et les films qui t'on apparemment (rudement !) marqué ne représentent pas vraiment virage en la matière...
De plus, l'innocence n'est jamais que relative à une finalité précise et des repères (ou critères) donnés qui constituent ses indispensables garants. C'est le cas en matière de droit par exemple, et donne lieu à des procès afin d'établir si un tel est innocent de ceci, à des fins de cela. Et même à titre moins pragmatique, l'innocence (façon "Rousseau") de l'animal ou de l'enfant demeure elle liée à une condition particulière : la cruauté du chat qui joue avec une souris ne l'en rend pas pour autant 'coupable' au sens où l'entendrait la justice humaine... Il ne fait que suivre sa nature, remplir pacifiquement sa fonction, et n'est donc pas soumis aux mêmes impératifs qu'un Homme adulte dans la même situation. Si bien que l'expression "innocence du monde", celle que tu cites, n'a pas beaucoup de sens - ou alors il faut la rapporter à des exemples bien précis. Et oui, un mensonge est toujours volontaire - c'est un peu le problème du concerné d'ailleurs ^^, de celui (comme tu le dis) d'une institution jusqu'à celui d'un individu -, sans quoi il ne s'agit que d'une omission, laquelle ne constitue pas un tort du même ordre. Notre pauvre scénariste n'est donc pas en tort jusque là...
Quant au "principe de réalité" dont tu parles (enfin, ce à quoi il fait allusion en psychanalyse), il repose précisément sur une certaine relativité de la connaissance, des prédispositions des gens, et (surtout) de leurs efforts pour l'acquérir (en tant qu'adultes responsables, au-delà de pulsion infantiles). Par conséquent, qu'une personne adapte son comportement pour tenir compte d'autrui, de son ignorance ou de ses capacités, ce n'est donc non seulement pas un thème blâmable mais plutôt louable à mon sens - même à titre très pragmatique, si l'on ne se soucie que d'efficacité. L'inverse en revanche, soit le fait de vendre n'importe quoi à n'importe qui, même en se drapant dans des espérances naïves, relèverait du "principe de plaisir", au mieux inconscient, au pire (effectivement) méprisant. A ce titre, j'entends bien ce que tu dis et suis d'accord que la façon de légitimer ledit mensonge dans le second opus - pour peu que l'on soit sensible à cet aspect des choses, qui n'a pas concerné grand monde... - ne constituait pas précisément l'idée du siècle ^^... D'accord. Mais encore une fois, bien choses ne sont pas 'ce que l'on croit' - j'ai notamment trouvé la représentation du Joker (de ses tendances psychotiques, de son rapport à la douleur ou au chaos) plutôt bonne, pour ce genre de film ; quoiqu'elle différait évidemment beaucoup de l'approche burlesque de Burton - et le fait de graduer la divulgation de quoi que ce soit en fonction des circonstances, du public, d'une finalité donnée - qui peut être bienveillante -, n'a (en soi) rien (du tout) de regrettable. C'est surtout (et tu le sais très bien, à mon avis) la lecture politique que l'on peut faire de pareille scène (et de ce que l'on imagine des intentions idéologiques à l’œuvre) qui la rend alors choquante.
Enfin, plus largement, mais c'est peut-être le point le plus important afin de mettre en évidence la notion de 'biais interprétatif' - puisque toute notre discussion tourne autour de questions d'interprétation, assez marginales au demeurant... -, il faut garder à l'esprit que le divertissement, depuis longtemps, vise rarement à élever (ou rendre plus intelligent) qui que ce soit. L'étymologie du mot lui-même, incite à la légèreté (par opposition à la gravité, au sérieux), à l'évasion et au fait (justement) détourner des normes (idéalement) constructives du quotidien, qu'importe le degrés d'intelligence à l’œuvre - et, pour sûr, certains divertissements peuvent être qualifiés de plus intelligents que d'autres. Raison pour laquelle il représente traditionnellement un certain risque pour l'individu, lui et les notions de "distraction" ainsi que de "loisir" (assez similaires)... Jouer ou regarder un film en connaissance de cause, ce qui ne pose pas de soucis fondamental ^^ - enfin, pas de mon point de vue en tout cas ! -, devrait épargner certaines désillusions quant aux thématiques abordées (rapport à l'Homme, à la violence, à la notion de 'bien', etc.), aux idéologies sous-jacentes (généralement intégrées très inconsciemment par les réalisateurs), et surtout aux représentations de ces (super-)héros qui te tiennent à cœur. Lesquels restent toujours des (super-)'serviteurs', oui, qu'importe ce qu'ils servent (hélas !)...

Eh, afin de rester dans les clous du sujet initial (Batman : films, jeux, etc.), un autre truc qui me vient à l'esprit en (re)lisant l'entête de l'article de Gog... Il est par exemple de bon ton de se moquer du quatrième "Batman", de Schumacher, généralement considéré comme le plus mauvais du lot, supposément au nom de la défense des 'sacro-saintes valeurs canoniques' du personnage, de son univers, etc. Mais toutes proportions gardées, il s'agissait (volontairement) d'un film de divertissement calqué (de près) sur les nombreuses adaptations des années 60, pleines de "PIF", "PAF" et "POUM" durant les bagarres, de gags potaches, de répliques risibles, de couleurs flashy et de scènes invraisemblables. Qui n'a pas ri, franchement, devant Arnold dans son armure de Mr Freeze, avec sa tronche bleutée et ses blagues glaciaires ^^ ? Moi, en tout cas, je l'avais trouvé très fun ^^... Georges Clooney avait d'ailleurs au moins l'avantage d'avoir une carrure autrement plus convaincante que celle de Keaton - qui m'a toujours paru trop peu athlétique pour le rôle, quoique Burton ait intelligemment tourné ses films afin d'éviter de trop exposer cette limitation -.et la trame du film... Bon sang... semblait droit sortie d'un clip commercial auquel l'on aurait adjoint des éléments d'opéra transgenre halluciné ^^ ! Il y avait clairement du talent à l’œuvre - Schumacher était (abonné à tous les excès, tous, mais néanmoins) doué ; il avait de plus eu, plus tard, la courtoisie de s'excuser auprès de tous ceux que son film aurait pu choquer, en insistant sur le fait qu'il n'ait jamais souhaité autre chose qu'amuser les gens -, qu'importe que l'on puisse s'offusquer du résultat... et oui, même dans ce cas de figure, il s'agit bien de (super-)héros, de représentations partiellement liées à une époque (culture et idéologie) donnée.

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ERISS: Tu ne connais pas beaucoup alors le roman noir (je ne parle pas du polard, littérature policière), par exemple Didier Daeninckx ou Jean-Bernard Pouy.
Je parlais bien du "roman noir" (et de la figure du "privé" classique), né aux USA il y a près d'un siècle - si l'on met de côté quelques romans précurseurs -, popularisé sur le même continent (littérature hard-boiled, etc.), et encore majoritairement états-unien en librairie à l'heure actuelle. Je ne nie pas (du tout !) l'intérêt de m'sieur Poulpe - que j'ai beaucoup apprécié à l'époque (révolue) où je lisais ce genre de chose, entre deux San Antonio pour se fendre la poire ^^ - ou du Sieur Daeninckx - j'ai moins lu ce dernier, cela dit -, mais ces exemples marginaux ne changent rien à mon propos - ni aux conventions communes.

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ERISS: Là tu parles des marxistes, et non des anarchistes.
Non, je parle des "lectures assez radicales" et citais des exemples d'oppositions (ainsi que d'idéologies correspondantes), qu'importe lesquelles au fond (Les anarchisme uniquement du fait de m'sieur Graeber). Après, ajoute là-dedans les marxistes, les léninistes, les stalinistes, les 'tout-ce-que-tu-veux'... Cela ne change rien au fait qu'il s'agisse (pas toujours, mais souvent) de grilles d'interprétation assez conflictuelles (pour en dire le moins !). Surtout pour ceux qui ne se contentent pas que d'en parler... Je suis né dans une ferme communautaire de soixante-huitards, et (par exemple) les plus vieux (anarchistes) qui y demeuraient avaient directement participé ou côtoyé des durs qui descendaient participer à la Guerre d'Espagne contre Franco, avec leurs canons sciés à la ceinture... Ça paraissait tout de suite beaucoup plus violent que les hippies culs nus et cheveux longs, peignant des aquarelles érotiques dans la nature, qui me servaient de parents ^^. D'où l'épithète "radicales"...

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ERISS: Voilà, la position anarchiste. Elle reconnait la lutte des classes, mais ne se base pas que sur ça, elle est majeure mais aussi relative.
Si c'est la tienne, tant mieux ! Mais tu sais alors très bien qu'il n'existe pas (et n'existera jamais) une 'position des anarchistes' officielle, fût-elle uniquement universitaire - ça fait un peu partie du concept même de cette pensée ^^ -, et que la place accordée (la relativité, comme tu dis) à tel ou tel aspect de la lutte débouche (concrètement) sur des sensibilités plus ou moins aiguisées à leur égard. Comme l'est la tienne, ici, au sujet d'un détail cinématographique...
Post edited December 02, 2020 by Zaephir-Moth
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Zaephir-Moth: Batman naviguait déjà en eaux troubles en 86 lorsque Miller a publié son "The Dark Knight Returns" par exemple, répondait aussi "Yes sir !" ou "Thank you Mr President !" à l'autorité dans les années 60 (en plus d'avoir participé à la chasse aux vilains communistes, comme tous les super-héros de son temps)
Oui, j'avais trouvé ça idiot aussi, mais pour moi ce loyalisme trivial un peu décevant ça participait quand-même du folklore, pour moi ça participait du manichéisme des super-héros/super-méchants, dont seul les lecteurs les plus cons sont dupes.
Alors que le mensonge explicité et légitimé envers le folk (les gens, mais ici c'est ciblé plus spécifiquement dans le sens de contre le peuple) est une brèche au folklore, évidemment, qui crache dans la soupe. Ici Batman montre l'antidémocratisme constitutionnel de la république, càd que la bourgeoisie se sent si forte qu'elle casse le mythe protecteur démocratique, sa propre propagande...
c'est pour ça que j'en venais à Macron, qui ne se gêne pas pour mentir éhontément, de manière évidente et il s'en fout. "Plus c'est gros plus ça passe" (Goering je crois), on est dans la propagande fasciste. Comme disait Durruti, la république a besoin du fascisme pour perdurer sa corruption bourgeoise, elle ne lutte pas vraiment contre le fascisme.
Post edited December 01, 2020 by ERISS
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Zaephir-Moth: des durs qui descendaient participer à la Guerre d'Espagne contre Franco, avec leurs canons sciés à la ceinture... Ca faisait beaucoup plus 'radical' que les hippies culs nus, cheveux longs et aquarelles érotiques dans la nature, qui me servaient de parents ^^. D'où l'épithète "radicales"...
la place accordée (la relativité, comme tu dis) à tel ou tel aspect de la lutte débouche (concrètement) sur des approches plus ou moins violentes à leur égard.
Des résistants qui n'ont pas abandonné la lutte après la 2GM contre les hitler&co, jusque dans les années 60 en effet, mais là ça devient bien hors-sujet. Démocratie: pouvoir (de force) du peuple (càd n'inclue pas les aristocrates, dont la bourgeoisie).
Post edited December 01, 2020 by ERISS
On est passé de Batman à Hitler... Bien... Bien...
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Thunker: On est passé de Batman à Hitler.
Depuis les annees 70
Post edited December 01, 2020 by ERISS
L'optique du prochain film ("The Batman", sortie dans 9 mois) est d'ailleurs intrigante:
Reeves accentue fortement sur le thème du mensonge (voir le trailer), revient vers les origines d'avant ce mensonge, et fait intervenir la Justice League (qui justement avec Batman avait combattu Hitler), mais en fait un perso plus sombre et violent (style Punisher? l'idole de la police facho).
Post edited December 01, 2020 by ERISS
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Thunker: On est passé de Batman à Hitler... Bien... Bien...
Ne t'inquiète pas (lol) : ça peut paraitre un peu long, mais ça reste cordial et nous nous arrêterons avant d'illustrer la loi de Godwin ^^. Il faut pouvoir parler tranquillement aux gens de ce qui leur tient à cœur... Surtout à l'heure actuelle ! Sans quoi les conversations se limitent au truc familial du dimanche - "Pas de religion et de politique à table" ^^ ! -, aux sujets (dits) "pas prise de tête" et aux formules convenues...
Par ailleurs, le thème du totalitarisme a (vraiment) toujours été étroitement associé à celui des super-héros états-uniens, ne serais-ce qu'à cause de la somme de pouvoir concentrée entre leurs mains. Une série comme "Injustice" (avec adaptation en jeu vidéo) mettait par exemple en scène un Superman devenu un dictateur planétaire 'pour le bien de tous' - La phrase "Gotham tremble, dirigée par la main de fer d'un homme d'acier" était bien trouvée ! -, et il en existe beaucoup d'autres. Ne serais-ce que le film "Batman v Superman : L'Aube de la justice", lui aussi chargé de p'tite piques politiques (grand public). C'est (aussi) le propre de ces personnages que d'illustrer au grand jour nombre de problématiques sociologiques intéressantes... Tout dépend après de la façon dont ils sont mise en scène. Le Punisher, souvent associé à l'auto-justice dans un pays où les armes sont en vente libre, permet aussi parfois (dans les comics) de chouettes réflexions sur la nature des conflits, la psyché des grands traumatisés qu'elle produit, ou encore les repères quotidiens d'un homme endurci au point d'être capable de sortir son flingue pour tout et n'importe quoi.

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ERISS: L'optique du prochain film ("The Batman", sortie dans 9 mois) est d'ailleurs intrigante:
Reeves accentue fortement sur le thème du mensonge (voir le trailer), revient vers les origines d'avant ce mensonge, et fait intervenir la Justice League (qui justement avec Batman avait combattu Hitler), mais en fait un perso plus sombre et violent (style Punisher? l'idole de la police facho)
Oui, j'ai vu ça... et n'apprécie pas plus cette esthétique que toi. Peut-être encore moins d'ailleurs ^^... Tous ces tons sales, délavés, dits 'hyper-réalistes' ; ces couleurs sourdes et lumières tamisées sur fond musical en sourdine qui appelle vraiment à des réactions (émotionnellement) viscérales, instinctives ou animales. A l'image des actions mises en scène d'ailleurs... Où est l'Homme, en tant (spécifiquement) qu'être humain, là dedans ? Ça me rappelle un peu le genre d'ambiance (parfois réellement) chargée de messages subliminaux dans certains casinos, boîtes de nuit ou concerts un peu 'hard', afin d'inciter les gens à se lâcher... Mais en même temps, cela constitue aussi souvent l'effet recherché par le public concerné, alors soit. Encore une forme de divertissement, au sens littéral, et la différence que j'établis par rapport à ton discours consiste à renvoyer chacun à ses responsabilités en la matière. Inutile de faire intervenir en permanence des histoires de systèmes, de camps, de classes, etc. : Ce que tu déplores peut être, sans surprise, (abondamment) retrouvé à tous les étages, quoique dans des proportions variées... Le fiel qui accompagne les idéologies d'opposition dérivant (et s'accompagnant souvent) d'une profonde déception (parfois jusqu'à la haine) envers ceux qui, pour diverses raisons, devraient aspirer à, valoir et diriger autrui vers mieux que ça. Ah, les idéaux ont la vue dure ^^...
Mais bref, bon, ce genre de film correspond à l'ère du temps, que veux-tu, et qu'importe ce qui choque ou les phénomènes à l'origine de cette évolution - il y aurait moyen d'en causer longtemps... -, il s'agit d'une tendance qui ne date pas d'hier et (à mon avis) ne dérangera pas grand monde - pas la majorité des spectateurs en tout cas. Carton garanti... Comme dit, "Batman IV" avait été passé à tabac par la critique comme les fans - note qu'il n'a pas été déficitaire pour autant ^^ ! -, alors qu'il ne s'agissait que d'un divertissement familial (façon "Cartoon" grand-guignolesque et sympatoche), tandis que la trilogie de Nolan (qui illustrait déjà cette tendance à la froideur, au latex-reflets-métallliques-à-tout-va et à la brutalité), elle, a pour ainsi dire fait l'unanimité jusqu'à des amoureux de cinéma plus exigeant.
Celle-ci m'avait néanmoins, comme dit, personnellement convenue - elle contenait même quelques belles scènes, par-ci par-là, tous films confondus - et je n'interprèterais pas ses thèmes comme tu le fais, mais je ferais en revanche peut-être l'impasse sur cet épisode-là... Une question de goûts, et tout cela ne correspond plus vraiment aux miens. Que Batman paie sa facture d'électricité et allume plus souvent la lumière de scène en scène, pour commencer ^^...
Post edited December 02, 2020 by Zaephir-Moth